présentation de[Dimitri Resnov] intitulé la décadence d'un homme...

Privet tovarishch.

Mon nom est Dimitri Resnov,

je suis née en Russie, fils d'une mère absente et et d'un père inconnu. la vie ne ma pas vraiment souri, mais je me rassure en me disant qu'elle ma endurci ...
J'ai pas eu la chance d'aller à l'école malheureusement ... mais grâce à ma grand mère, j'ai appris à lire et à écrire c'est déjà ça...

à l'age de 7 ans, j'ai rencontré mon meilleur pote Vladi...

c’était le fils du boucher qui fessait coin dans ma rue, on était inséparable. Mon meilleur souvenir d'enfance avec vladi c’était d'accrocher des pétards sur le ventre des rats. une fois la charge posée, ils détallait dans les champ pour se cacher. quand l’exposions retenti, on pouvait les voir se propulser au dessus des hautes herbe, et ça nous fessais toujours pisser de rire. xD

enfin bref ... Ma mère ne ma pas vraiment désiré, je suis un accident à ses yeux, et elle n'a jamais eu peur de le dire.

à mes 10 ans, ma grand mère est décédée, c'était la seul personne qui m'aimait et s’occupait de moi. je les retrouvée sur son fauteuil inerte ... je m’étais préparé à l'époque ... les larmes non pas coulé ...

je devais donc retourner chez ma mère. je fessais toute les corvées, et j’étais chargé tous les jours d'aller chercher sa vodka ... le genre de chantage pour me donner à bouffer.

à mes 17 ans, le calvaire commence vraiment...
Vladi est mort ... il à choper le tétanos.

j'ai fugué de la maison car ma mère ne me fessais plus à manger.

j'ai rencontré un gars qui ma pris sous son aille, et qui ma appris la vie, j'ai fais plusieurs courses pour lui et une fois l'argent dans les poches, me suis acheté une piaule.

je suis rentré dans l'armé ... j'ai fais la guerre en Tchétchénie. on ma chargé durant une OP de faire le salle boulot comme ils disent. j'étais pas prêts de répandre le sang pour un simple regard dévisageant. ça ma fais du mal.
voir un gars de 40 ans hurler après ça mère ma détruit.

...

bref ... je suis parti pour oublié mon passé et me voici à sanandreas sans une thune.

il n'y a plus rien d'autre à perdre, la vie me guidera ou elle le voudra.

this is my live. comme on dit en anglais.